Un salon du livre, c’est un immense réservoir littéraire, des auteurs que l’on connait mais qui ne nous connaissent pas, et des auteurs qui nous connaissent parce qu’ils savent écrire pour nous les lecteurs. C’est pour cela que leurs livres nous parlent. C’est un moment unique pour découvrir celui ou celle qui fait vibrer, rêver ou rire, qui réussit cette fusion entre un texte, notre imaginaire et parfois notre âme. C’est se dire que derrière les mots, il y a des cœurs de femmes et d’hommes animés d’incoercibles envies de partager.
Les auteurs sont encore des humains. Puissent-ils ne pas être remplacés par des machines…
Le sourire rayonnant de Macha Méril accroche le regard.
La nonchalance sympathique de Guy Marchand est très communicative.
Michel Drucker a pris le temps de rencontrer ses fans avec sa bienveillance légendaire.
Jean-François Kahn présente son dernier ouvrage, L'Horreur médiatique.
Les visiteurs captent le rouge de Marie Bertrand avant de glisser sur le rouge de ses Plaisirs d’Amour. Et de rougir en les lisant ?
Pas de concurrence entre auteurs de polards, même s’ils sont homonymes comme Jean François Thiery et Danielle Thiery (à droite et au centre) avec Roger Faindt.
Claude Peitz présente L’assassin des deux Rives, un polar alsacien à l’humour décapant : « Ses cheveux étaient si gras que même les poux avaient du cholestérol ».
Gaëlle Fratelli, comédienne, metteur en scène et auteure pour enfants.
Vincent Heyer, Historien des conflits dans le Sundgau (Sud de l’Alsace).
Anne Basc, échange avec ses lecteurs qui hésitent entre plusieurs de ses ouvrages.
De belles rencontres, j’ai partagé mon livre avec des lecteurs de 15 à 82 ans. Mon voisin de droite, c’était François-Guillaume Lorrain, journaliste au Point, spécialisé sur le cinéma, avec son dernier livre L’année des volcans qui raconte les amours sulfureuses et volcaniques entre Roberto Rossellini et Ingrid Bergman. Celui de gauche, Pierre Ménard, a écrit à 21 ans 20 bonnes raisons d’arrêter de lire et Pour vivre heureux vivons couchés. Un rien provoc et beaucoup de sourires et de succès.
Merci à Jérôme Amary pour cette invitation sur le stand de l’Espace Culturel Leclerc et à tous les lecteurs venus partager quelques instants.
Crédit textes et photos : © emmanuel cockpit